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Les travailleurs mis à pied chez ZESA ont besoin de solidarité

14 août, 2012Cent trente-cinq travailleurs et travailleuses de l’entreprise d’État ZESA au Zimbabwe ont été suspendus le 17 juillet pour un temps non précisé, sans salaire et sans prestations, après avoir menacé de faire grève le 10 juillet 2012. L’audience prévue par la législation, qui aurait dû avoir lieu dans les 14 jours qui ont suivi les mises à pied, a été constamment différée. Une date est maintenant fixée; elle commencera ses travaux le 16 août 2012.

L’entreprise publique d’électricité du Zimbabwe continue de dénier des droits aux travailleurs

30 août, 2012ZESA poursuit ses efforts pour que les travailleurs et travailleuses de l’électricité abandonnent leurs revendications pour une augmentation salariale en échange de la réintégration des membres du personnel mis à pied, et ce en dépit de l’ordre donné à ZESA par le ministre de l’Énergie de respecter la décision d’arbitrage accordant l’augmentation.

“100 jours à snober les travailleurs et travailleuses du Zimbabwe,” déclare la centrale syndicale

7 mars, 2018Le Congrès des syndicats du Zimbabwe (ZCTU), la centrale syndicale à laquelle appartiennent les affiliés d’IndustriALL Global Union, indique que l’administration du Président Emmerson Mnangagwa a “rencontré tout le monde” pour des consultations, mais a snobé le monde du travail au cours de ses 100 premiers jours de mandat.

Les syndicats condamnent les lois anti-grève au Zimbabwe

1 février, 2023Les syndicats du Zimbabwe ont de sérieuses objections contre des lois votées récemment et qui violent les droits syndicaux.

Les syndicats du Zimbabwe veulent la fin de la pauvreté, de la corruption et de l'oppression

3 mai, 2023Pendant les célébrations du 1er mai au Zimbabwe, les syndicats ont réclamé des salaires de survie en pleine crise du coût de la vie marquée par une inflation de 75,2 pour cent, des niveaux de pauvreté en hausse et un chômage élevé.

Les syndicats mettent en garde contre la catastrophe du COVID-19 qui menace le Zimbabwe

2 avril, 2020L’approche frilesuse du gouvernement zimbabwéen concernant le COVID-19 peut conduire à un désastre dans un pays qui lutte contre des famines généralisées, un chômage élevé, des pénuries d’eau et une crise économique, déclare l’affilié d’IndustriALL Global Union, le Syndicat des travailleurs de l’énergie du Zimbabwe (ZEWU).

Nous ne nous tairons pas face à la violence promue par l’Etat au Zimbabwe, disent les métallos sud-africains

24 septembre, 2020L’interdiction des manifestations, les enlèvements et la torture de militants et d’étudiants, les arrestations de journalistes et l’intimidation des syndicats ne sont pas des questions sur lesquelles nous resterons silencieux, a déclaré le Syndicat national des métallurgistes d’Afrique du Sud (NUMSA).

Des audits sur l’égalité des genres en Zambie et au Zimbabwe pour protéger les droits des femmes au travail

28 janvier, 2021Un certain nombre d’affiliés d’IndustriALL en Zambie et au Zimbabwe mettent en œuvre les recommandations issues d’audits sur l’égalité des genres qui ont eu lieu en novembre et décembre 2020. Ces audits sur l’égalité des genres sont une réponse aux informations faisant état d’une augmentation de la violence à l’égard des femmes pendant les confinements pour la Covid-19 dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne.

Zewu conteste le licenciement de sa présidente au tribunal du travail

12 juin, 2013La présidente du Zewu, Angeline Chitambo, comparaîtra jeudi devant le tribunal du travail dans le cadre du combat livré actuellement pour contester son licenciement injustifié par l’entreprise d’intérêt public Zesa il y a près d’une année.

Les mineurs au Zimbabwe déclarent être victimes d’abus de la part de l’entreprise controversable Anjin

10 août, 2012Le 3 août 2012, 1.500 personnes employées dans une mine contrôlée par Anjin Investments ont perdu leur emploi après un jugement du tribunal du travail sur l’illégalité de leur grève. Les travailleurs, qui faisaient grève pour la huitième fois en deux ans, exigeaient d’être mieux payés et d’avoir de meilleures conditions de travail. Ils durent libérer leurs logements appartenant à l’entreprise et poser une nouvelle candidature à leur poste de travail, pour pouvoir continuer de travailler à la mine.